LDLCEn octobre 2016, notre adhérent retourne à LDLC un ordinateur acheté chez eux un an plus tôt.

LDLC procède à sa réparation puis retourne à notre adhérent ce matériel via le transporteur Calberson. 

A la réception, notre adhérent déballe le premier carton, puis le second carton qu’il contient. Les cartons ne présentent pas de trace importante de choc. Il accède alors au PC qui, extérieurement, est en parfait état et, ainsi que le lui demande LDLC, ouvre le PC pour en retirer les cales qu’il contient.

Il constate alors que celles-ci sont bien présentes mais que tout, à l’intérieur, est tordu (disque dur, cartes …).

Le lendemain de la livraison, notre adhérent adresse à LDLC une réclamation par mail à laquelle LDLC accuse réception.

 
Une semaine plus tard, LDLC informe notre adhérent par mail de son refus de prise en charge au motif qu'il n’aurait pas fait les réserves auprès du transporteur à réception du colis.
 
Notre adhérent saisit alors l'UFC Que Choisir de Montpellier qui prend en charge le dossier. Elle rappelle à LDLC que la loi prévoit un délai de 3 jours suivant la réception pour émettre des réserves (art L133-3 du code du commerce). Elle lui rappelle aussi que c'est LDCL qui a choisi le transporteur Calberson et que, de ce fait, LDCL est responsable des agissements de ce transporteur.
Au final, LDLC reprend l’ordinateur et le remet complètement en état à sa charge avant de le réexpédier à notre adhérent.