En décembre 2022, notre adhérent contacte START ENERGIE pour le remplacement de sa chaudière. Après visite à son domicile, le commercial lui propose l’installation d’une pompe à chaleur de 16 kW de puissance pour un cout de 13 000€ en lui promettant une installation avant le 16 janvier 2023. Cette date s’avérant dépassée et l’installation non exécutée, le directeur commercial le justifie au motif qu’il n’avait pas les accessoires pour l’installation. En février, les pièces manquantes étaient bien arrivées mais un délai supplémentaire de trois semaines était donné pour la pose sans plus d’explications. Les trois semaines passées, notre adhérent est enfin avisé que les pièces reçues n’étaient pas les bonnes… Finalement quelques jours plus tard, une entreprise sous-traitante mandatée pour la pose dévoile à notre adhérent que la pompe livrée n’affiche qu’une puissance de 8 kW au lieu des 16 kW prévus au contrat. Notre adhérent refuse alors l’installation et fait appel à nous.

Nous avons alors adressé une lettre à l’entreprise soulignant ses entorses au droit de la consommation, notamment l’absence de réalisation dans un délai raisonnable et le respect du contrat quant à la puissance. Sur le plan technique, nous soulignons un défaut de maitrise technique et de logistique au regard des compétences nécessaires pour la réalisation d’une telle installation. Nous avons de plus demandé un engagement écrit portant sur les caractéristiques détaillées de l’installation projetée et sur la date programmée de la pose et ce, avant le 27 juin compte tenu du retard déjà observé. Suite à cette lettre nous avons eu un long entretien téléphonique avec le directeur de l’entreprise qui s’est engagé à réaliser les travaux immédiatement, nous proposant même (sic) ses services en termes de conseils techniques pour aider notre noble cause… Quelques jours plus tard, notre adhérent nous apprenait que l’installation était conforme et opérationnelle.